dimanche 30 septembre 2012

Chronique Les aventures d'Aliette Renoir, tome 1: La secte d'Abbadon

Bonjour mes petites chattes,

Beaucoup d'entre vous me connaissent déjà, je suis le délicieux Stan, entre-deux (ou entrejambe si vous préférez) de la saga Felicity Atcock de la géniale Sophie Jomain. Cela dit, Cecilia Correia, auteur de la guilde Nod et créatrice de Marcus, se défend plutôt bien, d'autant plus qu'elle a réussi à me faire introduire en guest star dans sa nouvelle saga, les aventures d'Aliette Renoir tome 1. Une conclusion s'impose : les éditions Rebelles sont au top et cela va chauffer dans vos petites culottes... pour celles qui en portent.

Commençons par le commencement : Dans l'entre-deux (sans jeu de mots, ne vous emballez pas) guerres, Aliette Renoir, fille d'un chasseur de vampires réputés, Emile Renoir, se fait assassiner une nuit et revient à la vie... sous forme de vampire, par un certain Lawrence, qui ne pouvait se résoudre à la laisser mourir. La demoiselle, qui, malgré son langage fleuri, est bien effarouchée, aura du mal à s'habituer à cette nouvelle condition, fera rapidement confiance à celui qu'elle surnomme l'amerloche. Il faut reconnaître qu'elle n'a pas vraiment le choix, elle n'a que lui...enfin, pour l'instant. Le vampire aux allures de gentleman est plutôt sympathique, il a de l'humour et n'est pas trop coincé, contrairement à certains. Petite touche rigolote, il surveille notre petite chatte « Chipie ». Encore un qui va rejoindre le harem d'une certaine Dimkagirl, l'une des rares minettes émoustillées de la Bulle à m'avoir snobé. Sans rancune...Revenons en à nos chatons. Notre héroïne, qui entre dans le monde des vampires, va découvrir Abbadon, leur roi. Ce dernier est un gros c...tyrannique qui a mon avis est mal baisé, mais il est difficile de se dresser contre lui. C'est d'autant plus ennuyeux qu'Aliette a des comptes à régler avec lui, qui datent d'avant sa transformation, bien avant.

Je vous ai déjà parlé de la chipie et de l'amerloche. Ils sont bien sympathiques tous les deux, mais il y a aussi Sytry, qui, s'il n'a pas mon don de rendre vos petites culottes inutilisables, se défend plutôt bien, dans la lignée de Marcus de la guilde Nod. Curieusement, c'est souvent les plus entreprenants qui ont le plus de mal à conclure, c'est notre croix à porter, mais vous pouvez toujours espérer que la tendance s'inverse dans les tomes suivants. Par contre, au risque de heurter vos cœurs d'artichauds, si ce dernier tient à protéger Aliette, c'est parce qu'il fait visiblement un transfert... je ne vous en dis pas plus et vous laisse juges.

Sur ce, je vous lèche,

Stan

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